RÉSEAU RESEIDA
Le réseau RE.S.E.I.D.A (Recherches sur la Socialisation, l’Enseignement, les Inégalités et les Différenciations dans les Apprentissages) a été créé en 2001 à l’initiative d’Élisabeth Bautier et de Jean-Yves Rochex (équipe ESCOL). Après un travail de mise en commun des convergences, des problématiques, et des résultats de recherches des différentes équipes autour de la question des inégalités et des processus différenciateurs à l’école, le réseau s’engage dans plusieurs recherches communes réparties selon les axes du réseau.
Les regroupements ne sont ouverts qu’aux membres du réseau de recherche RESEIDA. Si vous souhaitez y assister en tant qu’extérieur, vous pouvez contacter Christophe Joigneaux, Elise Vinel ou Julien Netter.
Les regroupements ont lieu dans les locaux de l’Université Paris Diderot, 75013 Paris (métro ligne 14 et RER C : stations Bibliothèque François Mitterrand).
REGROUPEMENTS RESEIDA 2020-2021
Le deuxième regroupement a lieu le 22 mars 2019, en distanciel. Merci de contacter les organisateurs du séminaire pour les modalités de connexion.
Le programme est le suivant :
– 10h30-12 heures : Présentation par Benjamin Moignard (et peut-être Stéphanie Rubi) du séminaire consacré aux cités éducatives, dans lequel interviennent d’autres membres du réseau ;
– 13h45 -16 heures : Points de situation des travaux menés au sein des différentes axes, comprenant une intervention d’une heure sur « la classe inversée et le travail en îlots des élèves » par Jacques Crinon, Georges Ferone et Patrick Rayou.
Le troisième regroupement est prévu, pour l’instant en présentiel, les 3 et 4 juin 2021. Le programme sera communiqué ultérieurement. Les modalités d’organisation s’adapteront aux contraintes sanitaires.
ARCHIVES DES REGROUPEMENTS DU RÉSEAU RESEIDA
Les regroupements ne sont ouverts qu’aux membres du réseau de recherche RESEIDA. Si vous souhaitez y assister en tant qu’extérieur, vous pouvez contacter Christophe Joigneaux, Elise Vinel ou Julien Netter.
Le premier regroupement de l’année universitaire a lieu le 19 novembre 2018 (10h, bâtiment Halle aux farines, salle 471E) et 20 novembre (9h30, bâtiment Halle aux farines, salle 247E).
Le deuxième regroupement a lieu les 11 et 12 mars 2019, avec des interventions d’Aurélie Chesnais, Benjamin Moignard et deux demi-journées consacrées au travail au sein des axes.
Le troisième regroupement a lieu les 20 et 21 mai 2019.
Jeudi 5 janvier 2017
Salle 165 E du bâtiment Halle aux Farines.
À partir de 10 heures, intervention de Christophe Delay (Haute École de Travail social et de la Santé – Lausanne) : « Classes populaires et devenir scolaire enfantin : un rapport ambivalent ? »
Plusieurs travaux ont souligné l’essor en France des ambitions scolaires des familles populaires tout comme leur variabilité en fonction de l’origine nationale ou des scolarités juvéniles. Cette contribution revisite ce débat au moyen de deux enquêtes qualitatives réalisées en Suisse romande. Un accent particulier sera posé sur les propos ambivalents des familles quant à la poursuite d’études longues de leurs enfants à l’école primaire. Puis, l’analyse de quelques portraits sociologiques auprès d’élèves orientés dans des filières préprofessionnelles permettra de réfléchir à la manière dont les jeunes s’approprient ces messages au moment de la transition vers les formations post-obligatoires en fonction de leur trajectoire scolaire, de leurs notes, des configurations familiales mais aussi des conseils enseignants ou du groupe de pairs.
À partir de 14 heures, intervention d’Ariane Richard-Bossez (ESPEAix-Marseille), « Savoirs, pédagogie et apprentissages différentiels à l’école maternelle ».
Le propos portera sur mon travail de thèse relatif à la construction des savoirs à l’école maternelle, ses inégalités et ses moments de démocratisation. Après avoir présenté mon approche théorique et méthodologique, je développerai cinq dimensions que j’ai plus spécifiquement étudiées : l’institutionnalisation des savoirs dans les curricula de l’école maternelle, leur reconfiguration pragmatique dans les classes par les enseignants, leur interprétation différenciée par les élèves, les possibilités de révision des savoirs au cours des interactions en situation ; les jugements sociaux attribués aux apprenants dans les activités scolaires. L’analyse de ces cinq dimensions et de leurs interrelations fera ressortir différents processus d’ouverture ou de fermeture des possibilités d’apprentissage. Cela permettra ainsi de questionner la manière dont l’école maternelle intègre cognitivement mais aussi socialement les élèves qui lui sont confiés dans les apprentissages scolaires.
Vendredi 6 janvier 2017
9h30-10h30/11h : échanges sur l’avenir du réseau. Problèmes administratifs et orientations de travail. Salle 165 E.
À partir de 10h30/11h, travail par axes (aux responsables des trois axes d’organiser ce temps de travail). Nous disposerons pour cela des salles 165 E, 123 C et 125 C.
Jeudi 23 mars 2017
Amphi 2 A du bâtiment Halle aux Farines.
10h – intervention de Barbara Fouquet-Chauprade (Uni. De Genève) et de Marion Dutrévis (Service de Recherche en Éducation de Genève), « Les effets de la labellisation en contexte d’éducation prioritaire ».
Depuis quelques décennies et dans un grand nombre de pays se sont développées des politiques d’éducation prioritaire, qui sont conçues comme des outils de lutte contre les inégalités scolaires. Ces politiques prennent des formes très variées. Elles ont toutefois en commun de mettre en œuvre un effet de label. Nous faisons l’hypothèse que celui-ci génère un processus de catégorisation qui n’est pas sans conséquence pour les acteurs scolaires concernés (Dutrévis & Fouquet-Chauprade, 2016 ; Fouquet-Chauprade & Dutrévis, soumis). Durant cette présentation, nous développerons les arguments théoriques, tant sociologiques que psychologiques, qui étayent cette hypothèse de labellisation. Nous présenterons ensuite le contexte genevois, son réseau d’enseignement prioritaire et ses spécificités. Puis nous verrons comment mettre à l’épreuve des faits cette hypothèse de labellisation en questionnant à la fois les directeurs d’établissement, les enseignants, et les élèves de l’école primaire genevoise. Des premiers résultats permettront de nourrir la discussion. _ Références bibliographiques : Dutrévis, M., & Fouquet-Chauprade, B. (2016). Labelliser des territoires. Les risques de stigmatisation en éducation prioritaire. Diversité, 186, 59-64. Fouquet-Chauprade, B., & Dutrévis, M. (soumis). Le rôle des attentes enseignantes en contexte d’enseignement prioritaire. In B. Fouquet-Chauprade et A. Soussi (Eds.), Pratiques pédagogiques et enseignement prioritaire. Peter Lang
14h – intervention d’Ariane Richard-Bossez (ESPE Aix-Marseille) et Christophe Joigneaux (Escol-Circeft, Upec) : lectures croisées des ouvrages L’école des incapables ?, de Mathias Millet & Jean-Claude Croizet, La Dispute, 2016 et Sociologie de l’école maternelle, de Pascale Garnier, PUF, 2016.
L’objet de ce temps de travail est de présenter et de confronter les principales thèses développées dans deux ouvrages récents consacrés à l’école maternelle : L’école des incapables ? La maternelle, un apprentissage de la domination de Mathias Millet et Jean-Claude Croizet et Sociologie de l’école maternelle, de Pascale Garnier. Ces deux ouvrages ont pour point commun d’être très critiques vis-à-vis des effets de l’école maternelle à partir de deux points de vue relativement opposés. Ainsi, Millet et Croizet voient dans la maternelle une première école de la domination où les Professeurs des Ecoles n’enseigneraient pas ou pas assez, tandis que Garnier lui reproche au contraire de s’être trop scolarisée et de ne se focaliser que sur l’aspect scolaire des apprentissages au détriment de la prise en compte d’un développement plus global de l’enfant. Après avoir présenté ces deux approches, la discussion se propose de revenir, d’une part, sur ce qui peut expliquer des points de vue aussi contrastés en termes de cadres théoriques et de modes d’investigation notamment. Et, d’autre part, sur les enjeux que cela peut recouvrir au niveau des missions confiées à l’école maternelle et de leur traduction dans les curricula, mais aussi au niveau de la construction des inégalités scolaires à ce premier maillon du système éducatif.
Vendredi 24 mars 2017
À partir de 9h30, travail par axes (aux responsables des axes d’organiser ce temps de travail).
Jeudi 8 juin 2017
Salle 1021 du bâtiment Sophie Germain, rue Albert Einstein, 75013 Paris (attention, ce n’est pas la Halle aux farines, notre « bâtiment habituel »)
À partir de 10 heures, intervention de Sylvain Broccolichi (Recifes, Université d’Artois), Christophe Joigneaux et Maira Mamede (ESCOL, UPEC – Paris 8), « Genèse des positionnements des Professeurs d’école face aux inégalités scolaires. Entre idéaux, formation initiale et socialisation professionnelle ».
À 14 heures, intervention de Gwenaelle Audren (Aix-Marseille Université), géographe qui présentera son travail de thèse récemment soutenu.
« Ma thèse intitulée « Géographie de la fragmentation urbaine et territoires scolaires à Marseille » s’attache à décrire les formes de la fragmentation urbaine à Marseille ainsi que leurs conséquences socio-spatiales à travers les modalités de l’offre scolaire au niveau du collège et les pratiques de choix des lieux de scolarisation à l’entrée en sixième, à plusieurs échelles, en 2006 et 2009. La carte scolaire impose aux familles un collège de secteur mais face aux importantes recompositions socio-territoriales urbaines, des décalages s’opèrent entre les collèges, les attentes éducatives des parents et les conditions locales de scolarisation. L’étude porte d’une part, sur la quantification et la localisation du phénomène de l’évitement scolaire à Marseille et d’autre part, sur l’analyse fine de contextes territoriaux, dans lesquels se développent plusieurs types de stratégies scolaires. Des pratiques scolaires hétérogènes soulignent le creusement des inégalités socio-résidentielles. L’analyse des stratégies des différents acteurs institutionnels et individuels permet d’appréhender les mécanismes de production d’un espace scolaire systémique et hiérarchisé, et les contextes locaux révèlent territoires scolaires multiples et différenciés ».
Vendredi 9 juin 2017
Travail par axes (aux responsables des axes d’organiser ce temps de travail).
Regroupements 2015-2016
Les regroupements ne sont ouverts qu’aux membres du réseau de recherche RESEIDA. Si vous souhaitez y assister en tant qu’extérieur, vous pouvez contacter Jean-Yves Rochex (jean-yves.rochex@univ-paris8.fr).
Ces journées auront lieu dans les locaux de l’Université Paris 7 Denis Diderot, dans le bâtiment Halle aux farines, accès par le 10-16 rue Françoise Dolto ou le 9-15 Esplanade Pierre Vidal Naquet, 75013 Paris (métro ou RER Bibliothèque François Mitterrand) _
Lundi 6 juin 2016 _ Salle 410 B du bâtiment Halle aux farines. _
_ La journée du 6 juin sera consacrée à la présentation de travaux portant sur les questions de littératie, d’oralité et d’apprentissages scolaires.
- À partir de 10h00, le groupe « Discours scolaire » d’ESCOL présentera ses travaux en cours sur le thème « Textes composites, pratiques de classe, littératie papier et littératie numérique ».
Lire la présentation de l’intervention
Textes composites, pratiques de classe, littératie papier et littératie numérique _ Groupe « Discolaire » _ _ Le groupe composé de C. Viriot Goedel, E. Vinel, P. Richard Principalli, T. Pagnier, . B. Lavieu-Gwozdz, G.Ferone, C. Delarue Breton, J. Crinon, E. Bautier travaille depuis plusieurs années sur l’introduction des documents composites (voir le texte Bautier et alii, Repères, 2012) comme supports de travail du point des vue des éventuels obstacles qu’ils peuvent constituer pour une partie des élèves dans la compréhension et l’acquisition des savoirs disciplinaires. Dans un premier moment de cette recherche, nous avons essentiellement analysé les difficultés, les manières de faire des élèves avec des doubles pages de manuels sans référence à la classe (lecture d’albums, puis d’une double page de manuel de sciences, d’histoire ou de géographie, puis production d’un écrit par l’élève, écriture de l’élève et entretien individuel avec les élèves pris individuellement). Dans un second temps, nous poursuivons le travail sur ces difficultés d’une part en observant les pratiques de classe des enseignants avec ces documents, d’autre part, en comparant les usages que font élèves et enseignants de documents papier et numériques. Il s’agit d’identifier non seulement la façon dont les enseignants prennent connaissance des difficultés des élèves et les prennent en charge, mais surtout ce que ces documents induisent comme pratiques de classe (comment ils utilisent en réalité ces documents, comment ils mettent les élèves au travail, quelle recomposition des documents effectuent-ils, quel statut pour les textes de savoir ?). _ L’exposé portera sur ces pratiques de classe qui permettent d’identifier comment les séances conduites en appui sur de tels documents accroissent les obstacles rencontrés par une partie des élèves : réduction de la complexité du document par un découpage du document et des séances, segmentation très grande des contenus, activités de manipulation incessantes des élèves… Nous cherchons à savoir si les difficultés et malentendus que ce type de support pouvait entretenir étaient levés par la « médiation » pédagogique et notamment comment (et si) la discontinuité et la triple hétérogénéité du support étaient prises en charge par l’enseignant. _
- À partir de 14 heures, Marceline Laparra et Claire Margolinas interviendront sur le thème « Les premières situations scolaires à la loupe. Des liens entre énumération, moralité et littératie », à partir de l’ouvrage éponyme qu’elles ont rédigé pour les éditions De Bœck (à paraître en septembre 2016).
Lire la présentation de l’intervention
Les premières situations scolaires à la loupe Des liens entre énumération, oralité et littératie _ Marceline Laparra & Claire Margolinas _ _ Dans le séminaire, nous donnerons un aperçu de certains éléments de notre livre à paraître chez de Boeck en septembre 2017 dans la collection dirigée par Sabine Kahn et Bernard Rey. Dans ce livre, nous nous intéressons en particulier au continuum oralité / littératie. _ La quatrième de couverture du livre (version non définitive) donne un aperçu de l’ouvrage. _ _ Didacticienne du français (Marceline Laparra) et didacticienne des mathématiques (Claire Margolinas), nous observons ensemble les difficultés des premiers apprentissages scolaires (élèves de 5 à 7 ans en dernière année d’école maternelle et première année d’école primaire) depuis une dizaine d’années. Ce livre propose d’examiner à la loupe les difficultés et les réussites des élèves dans des situations scolaires qui sont ordinaires en français et en mathématiques, suivant deux points de vue complémentaires : anthropologique et didactique. Il s’agit de révéler certaines connaissances utiles mais sous-estimées ou mal connues, en particulier l’énumération. Il est en effet difficile, pour l’adulte qui sait lire et compter, de comprendre les situations dans lesquelles les élèves se trouvent effectivement et de déterminer les connaissances qui sont en jeu. Il est nécessaire pour cela de prendre en compte en particulier deux univers : celui de l’oralité et celui de la littératie. L’étude de ces deux univers est au cœur de cet ouvrage, dont l’ambition est de permettre aux enseignants de mieux enseigner à tous les élèves et donc de ne pas aggraver les inégalités scolaires.
_ Mardi 7 juin 2016
- à 9h30, salle 122 C de la Halle aux Farines, Géry Marcoux, de la FAPSE de l’Université de Genève interviendra sur le thème « Croyances et connaissances des enseignants : quels effets sur le redoublement ? ».
Lire la présentation de l’intervention
Croyances et connaissances des enseignants : quels effets sur le redoublement ? _ Géry Marcoux (Université de Genève) _ _ Dans de nombreux systèmes éducatifs, le redoublement reste en usage avec une forte adhésion des enseignants alors que la littérature scientifique conclut à son inefficacité, voire à ses effets négatifs. Cet état de fait interpelle. _ Dès lors, nous aurons à cœur de montrer, dans un premier temps, que de notre point de vue, toute décision de redoublement est la résultante d’un processus évaluatif dans lequel les notes ne sont que partiellement déterminantes impliquant des jugements normatifs s’appuyant sur une « théorie personnelle » au sens où la croyance aux bienfaits du redoublement s’intègre dans un réseau d’idées, convictions et représentations de l’enseignant (Marcoux & Crahay, 2008). _ Dans un second temps, nous développerons l’idée que pour comprendre ces décisions, c’est tout le fonctionnement évaluatif des enseignants qu’il importe d’étudier. A cette fin, nous présenterons les principaux résultats du programme de recherche que notre équipe a mené au cours de la période 2010-2014 (Crahay & Marcoux, 2010) et tenterons deux modèles heuristiques : l’un essayant de comprendre comment se construisent les croyances et les connaissances des enseignants concernant le redoublement (Marcoux, Boraita & Crahay, 2016), l’autre, cherchant à déterminer comment se prennent les décisions de redoublement (Marcoux & Crahay, accepté).
_ Crahay, M. & Marcoux, G. (2010). Comment et pourquoi les enseignants décident du redoublement de certains élèves ? Projet approuvé et attribué pour la période 2010-2014 : FNS n°132218. Berne : Fonds national suisse de la recherche scientifique. _ Marcoux, G. & Crahay, M. (2008). Mais pourquoi continuent-ils à faire redoubler ? Essai de compréhension du jugement des enseignants concernant le redoublement. Revue suisse des sciences de l’éducation, 30(3), 501-518. _ Marcoux, G., Boraita, F. & Crahay, M. (2016). A propos de la structuration, de l’enracinement culturel et de la modifiabilité des croyances des enseignants sur le redoublement : synthèse d’un programme de recherche FNS. Revue suisse des sciences de l’éducation, 38(2). _ Marcoux, G. & Crahay, M. (accepté). Le redoublement des élèves : des décisions prises dans l’incertitude. In P. Detroz (Ed.). Ouvrage collectif issu du 27e colloque international de l’Adméé. _ _ Biographie Après avoir enseigné pendant dix ans dans l’enseignement secondaire inférieur à Bruxelles et suivi un master en Sciences de l’éducation à l’Université libre de Bruxelles, Géry Marcoux a rejoint l’équipe du Professeur Marcel Crahay à Genève en 2006. Une première recherche commune les amènera à écrire un article au titre évocateur : « Mais pourquoi continuent-ils à faire redoubler ? » Cet essai, dans lequel ils tentent de mieux comprendre les décisions des enseignants concernant le redoublement, les conduira à proposer et codiriger de 2010 à 2014 un Fonds National Suisse de recherche intitulé : « Comment et pourquoi les enseignants décident du redoublement de certains élèves ? » Aujourd’hui, la poursuite de leurs travaux ambitionne de mettre en évidence et de mieux comprendre les relations des croyances des enseignants et futurs enseignants relatives au redoublement avec leur connaissance des recherches sur les effets du redoublement ainsi que d’autres catégories de croyances : intelligence, apprentissage, évaluation, justice.
Les axes se réuniront le mardi après-midi (les responsables d’axes en organisent le travail) et disposeront pour cela des salles 122C, 123C et 124C.
Jeudi 11 février 2016 : deux séances de travail en plénière.
Lieu : Salle 165 E, dans les locaux de l’Université Paris 7 Denis Diderot, dans le bâtiment Halle aux farines, accès par le 10-16 rue Françoise Dolto ou le 9-15 Esplanade Pierre Vidal Naquet, 75013 Paris (métro ou RER Bibliothèque François Mitterrand). _
- 11 février – 10 heures, salle 165 E
_ Travaux de l’Axe 3 : D’un ouvrage à l’autre. Des frontières à la temporalité. _ Les collègues de l’Axe 3 de Reseida rendrons compte de leurs travaux et projets, depuis l’ouvrage qu’ils ont récemment publié (Aux frontières de l’école, sous la direction de P. Rayou, Presses universitaires de Vincennes – voir flyer ci-dessous) jusqu’à celui qu’ils ont en préparation.
Lire la présentation de ce travail
« Notre récent ouvrage (Aux frontières de l’école. Institutions, acteurs, objets, Presses universitaires de Vincennes) a été élaboré dans le cadre de l’axe 3 de Reseida. Il s’interroge sur la nature et l’état des frontières que l’école républicaine avait tracées entre elle-même et le reste de la société, supposées garantes d’une réussite due au seul mérite des élèves. Il avance l’idée que les frontières de l’école sont toujours bien réelles au sens où les savoirs qu’elle dispense et les façons dont elle les diffuse lui sont spécifiques même si ses manières les plus visibles d’instaurer une distance avec le monde extérieur sont en voie de disparition. Il propose des outils de compréhension d’une institution qui, loin de décliner, étend de mille et une façons son emprise sur la société et dont l’inégale maîtrise des codes par les différentes populations d’élèves crée entre eux de profondes et durables lignes de démarcation. _ Le projet d’ouvrage (Le temps des apprentissages) vise, après la dimension spatiale, à explorer la composante temporelle de la scolarisation. L’idée générale est d’analyser les tensions temporelles qui traversent l’école et que ne laisse pas apparaître une approche formelle, de l’organisation du temps. Cela peut se faire d’un triple point de vue qu’il nous semble possible de caractériser comme : anthropologique ; sociologique ; socio-didactique. Il s’agirait de partir de considérations générales sur la réalité du temps institutionnel confronté à celle des situations ; de montrer les enjeux sociaux des confrontations entre temps formel de l’école et temps réel de l’acquisition des dispositions temporelles scolaires ; de montrer que les processus d’apprentissage scolaire procèdent de temporalités complexes irréductibles à leur organisation curriculaire ». bloc> _ _ _
- 11 février – 14 heures, salle 165 E
_ Bertrand Daunay, Professeur à l’Université Lille 3 et membre du CIREL (EA 4354) qui nous proposera une intervention intitulée « L’imbécile : une interrogation du savoir scolaire », publiée dans un ouvrage collectif dirigé par lui- même et Jean-Louis Dufays.
Lire la présentation de l’intervention de Bertrand Daunay
« L’imbécile : une interrogation du savoir scolaire »
Je me propose de présenter une réflexion sur une figure que j’esquisse depuis de nombreuses années, par petites touches, et dont j’entreprends actuellement de manière plus systématique un portrait, celle de l’imbécile. Je l’emprunte à Henri Michaux, qui écrivait dans Ecuador, en 1929 :
« J’ai souvent remarqué, dans les études secondaires, que les élèves “imbéciles” butaient avec grande sûreté sur le hasardeux, le spéculatif et le nœud de la théorie proposée.
« Ils posaient des questions au professeur là-dessus, qui leur réexpliquait la chose. Eux cependant restaient songeurs, aux rires et ricanements de la populace des forts en thème.
« Dans la suite, j’ai remarqué que ces théories renversées par de successifs savants l’étaient justement par cet endroit où l’imbécile de quinze ans avait mis le doigt. »
Valoriser, à la suite de Michaux, cet imbécile-là, c’est se donner comme projet, dans une approche théorique didactique, de penser les difficultés des élèves par la connaissance des limites du savoir théorique – ce qui, en retour, permet de mieux penser le savoir théorique. J’illustrerai cette proposition par un retour sur des analyses que j’ai pu faire concernant la lecture ou l’écriture dans le secondaire (de la paraphrase à l’écriture d’invention) et sur la question plus générale de l’injonction à la distance, dont la naturalisation peut revenir à une valorisation des normes scolaires. J’ouvrirai ensuite mon propos en présentant une recherche plus récente (menée avec Daniel Bart) sur le PISA et un projet plus global de travail sur l’imbécile, dans une perspective didactique critique.
Vendredi 12 février 2016 : travaux de nos trois axes – groupes de travail
Axe 1 (recherche ACCI) : Halles aux Farines, salle 375 F _ Axe 3 : Halles aux Farines, salle 404 B. _ Les membres de ces axes seront informés des horaires de travail. _ _ L’axe 4 se réunira à Montreuil. Les membres de cet axe seront informés du lieu et des horaires choisis.
Programmation 2014-2015
Séance n°1
Les 3 et 4 novembre 2014 Université Paris 8
le lundi 3 novembre sera consacré aux travaux des trois axes.
Pour la recherche ACCI (adaptations contextualisées des curriculums), salle A045
Pour l’axe 3 (nouvelles frontières de l’école ?), salle D328
Pour l’axe 4 (doxas, croyances…), salle B132
Le mardi 4 novembre auront lieu, en séance plénière, deux interventions :
à 9h30, Benjamin Moignard et Stéphanie Rubi, « Encadrer les élèves perturbateurs ? Une sociologie de désordres scolaires »
à 14 h, Héloïse Durler (HEP Lausanne), « L’ “élève autonome“ : dispositifs pédagogiques et enjeux sociaux d’une injonction paradoxale. »
Séance n°2
Les 30 et 31 mars 2015
Programme
Lundi 30 mars : journée d’études sur les « Savoirs, conceptions et normes professionnelles des enseignants », proposée et organisée par les membres de l’axe 4 du réseau.
Lieu : Les archives nationales (salle des commissions 3-4), 59 rue Guynemer.
9h15 – 9h45 – Accueil et présentation (Sabine Kahn)
09h45 – 10h30 – Pensée, croyances et pratiques des enseignants (Géry Marcoux, Université de Genève)
10h30 – 11h00 – Discussion
11h00 – 11h30 – Méthodologie d’une enquête collective conduite par l’axe 4 de Reseida sur les conceptions et les normes des enseignants (Bruno Fondeville, Dominique Gelin et Georges Ferone)
11h30 – 12h00 – Analyse quantitative des données de l’enquête : méthode et résultats (Jacques Crinon, Georges Ferone et Eliane Fersing)
12h00 – 12h15 – Discussion
12h15 – 13h45 – Pause repas
13h45 – 14h15 – Analyse qualitative des données de l’enquête : méthode et résultats (Corinne Marlot, Marie Toullec-Théry et Nathalie Sayac)
14h15 – 14h40 – Discussion
14h40 – 14h55 – Pause
14h55 – 16h30 – En deux temps : analyse de discours du corpus de l’enquête : des conceptions aux doxas. Aspects théoriques, méthode et résultats (Elisabeth Bautier, Catherine Delarue-Breton, Catherine Dupuy, Jacques Crinon et Charlotte Bouko).
16h30 – 17h – Discussion
Argumentaire
Depuis quelques années, on assiste au développement de travaux de recherche qui, à partir d’approches méthodologiques qualitatives des pratiques d’enseignement et des conduites des élèves, cherchent à comprendre les processus de différenciation qui participent à la production des inégalités scolaires. Qu’ils s’inscrivent dans la tradition de la sociologie de l’éducation ou dans des disciplines plus récentes, comme les didactiques disciplinaires ou les approches comparatistes en didactique, ces travaux soulignent chacun à leur manière le rôle des pratiques scolaires dans la production des difficultés d’apprentissage qui touchent plus particulièrement – mais non exclusivement – les enfants issus de milieux populaires (Rochex & Crinon, 2011 ; Bautier & Rayou, 2009 ; Bonnéry, 2011 ; Pelgrims & Cèbe, 2010). Ces travaux mettent notamment au jour l’existence de logiques d’adaptation des enseignants et de l’enseignement aux élèves les plus faibles (Butlen & al., 2002 ; Félix et Saujat, 2008), en réponse aux dilemmes professionnels auxquels ils sont confrontés (Toullec-Théry & Marlot, 2013 ; Wanlin & Crahay, 2012). Ils attirent aussi l’attention sur le fait que ces pratiques d’enseignement se soutiennent d’un discours progressiste tant dans ses visées que dans les conceptions de l’enseignement et de l’apprentissage qu’il revendique. C’est ainsi au nom de la réussite de tous les élèves, de la prise en compte des plus faibles d’entre eux, que les enseignants de l’école primaire revendiquent par exemple leur adhésion à une idéologie moderniste et constructiviste : rendre les élèves acteurs de leurs apprentissages, donner du sens aux savoirs appris, faire manipuler les élèves, les motiver en proposant des situations ludiques et des supports authentiques constituent ainsi autant de leitmotivs (Vause, 2010 ; Zakaria, 2012). Paradoxalement, la mise en avant de ces principes confère un caractère conventionnel et normatif aux discours et aux pratiques ainsi produits. Par conventionnel et normatif, nous entendons désigner le fait que ces principes se présentent comme des normes professionnelles incontestables, qui relèvent d’une évidence partagée alors même que leur efficacité est soumise à d’autres conditions et en particulier à la mobilisation cognitive des élèves dans l’activité (et pas seulement dans les aspects superficiels des tâches). Si certaines formules prescriptives et certains principes pédagogiques se développent dans la sphère professionnelle, c’est sans doute parce qu’ils y exercent des fonctions structurantes. Rendre compte de la genèse de ces « prêts-à-penser » et de leurs fonctions (fonctions identitaires, de légitimation ou encore de préservation des « places et des faces » de l’ensemble des acteurs, par exemple) apparaît comme un enjeu important pour comprendre la manière dont ces normes professionnelles contemporaines organisent les significations sociales des pratiques scolaires. Au cours de ces derniers mois, une enquête a été conduite par l’axe 4 du réseau RESEIDA pour tenter de mieux comprendre les conceptions de l’apprentissage et de l’enseignement qui sous-tendent les pratiques des enseignants. Cette journée sera l’occasion de présenter les premiers résultats de cette enquête.
Références bibliographiques
Bautier, É. & Rayou, P. (2009). Les inégalités d’apprentissage. Programmes, pratiques et malentendus scolaires. Paris : PUF. Bonnéry, S. (2011). Les définitions sociales de l’apprenant. Recherches en didactiques. Les cahiers Théodile, 12, 85-101. Butlen, D., Peltier, M.-L. & Pézard, M. (2002). Nommés en REP, comment font-ils ? Pratiques de professeurs des écoles enseignant les mathématiques en REP : cohérence et contradictions. Revue Française de Pédagogie, 140, 41-52. Pelgrims, G. & Cèbe, S. (2010). Aspects motivationnels et cognitifs des difficultés d’apprentissage : le rôle des pratiques d’enseignement. In M. Crahay et M. Dutrévis (dir.), Psychologie des apprentissages scolaires (pp. 111-135). Bruxelles : De Boeck. Rochex, J.-Y. & Crinon, J. (dir.) (2011). La construction des inégalités scolaires. Au cœur des pratiques et des dispositifs d’enseignement. Rennes : PUR. Toullec-Théry, M. & Marlot, C. (2013). Les déterminations du phénomène de différenciation didactique passive dans les pratiques d’aide ordinaire à l’école élémentaire. Revue Française de Pédagogie, 182, 41-54. Vause, A. (2010). Les croyances et connaissances des enseignants de l’école primaire à propos de l’acte d’enseigner. Éducation & Formation, e-294. En ligne : http ://ute3.umh.ac.be/revues/ Wanlin, P. & Crahay, M. (2012). La pensée des enseignants pendant l’interaction en classe. Une revue de la littérature anglophone. Éducation et didactique, 6(1), 9-46. Zakaria, H. (2012). Que font les maîtres ? Pour un bilan de la rénovation pédagogique à l’école. Paris : La Dispute.
***
Mardi 31 mars : cette journée sera réservée, à partir de 9h30, au travail des axes, qui travailleront soit toute la journée, soit uniquement le matin, selon leur décision propre. Cette deuxième journée aura lieu dans les locaux de Paris 8.
Regroupements 2013-2014
Séance n°1
4 et 5 novembre 2013
Lieu : Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis
Lundi 4 novembre, 10h-17h, (B 132)
Matin : intervention de Jean-Marie Privat, Professeur à l’Université de Lorraine, Le silence des lignes.
L’après-midi sera consacré à un retour sur l’intervention de JM Privat, et sur les usages que nous faisons des notions de littératie, de raison graphique, dans nos propres travaux et réflexions. Elle sera introduite par deux interventions de Marceline Laparra et de Claire Margolinas.
Mardi 5 novembre, 9h30-17h
Réunions propres aux trois axes ou groupes de travail engagés dans des projets collectifs :
Salle D143 pour le groupe Adaptations curriculaires
Salle A2278 pour le groupe Nouvelles frontières
Salle A045 (la salle de réunion Escol) pour le groupe/axe 4
Séance n°2
30 et 31 janvier 2014
Lieu : Université Paris 8 Saint-Denis
Jeudi 30 janvier
salle D 143 (1er étage du bâtiment D), de 10 h à 17 heures ou 17 heures 30.
La matinée (10h à 12h) sera consacrée à la présentation (par E. Bautier) de l’état d’avancement de la recherche collective Adaptations curriculaires contextalisées et inégalités (ACCI), des hypothèses et problématiques sur lesquelles elle repose, de la manière dont elle s’inscrit en continuité et en dépassement des travaux précédemment menés au sein de Reseida, puis des modes de recueil et de traitement de données mis en œuvre, et des questions méthodologiques et théoriques que pose ce travail et sa mise en œuvre dans trois disciplines différentes en classe de 6ème.
L’après-midi sera consacré à la présentation (par Roland Goigoux) de la recherche collective qu’il pilote au sein de l’IFÉ, « Étude de l’influence des pratiques de l’enseignement de la lecture et de l’écriture sur la qualité des apprentissages au cours préparatoires », qui regroupe des membres de treize équipes universitaires (dont plusieurs équipes et collègues membres de Reseida).
Vendredi 31 janvier
La matinée sera consacrée, sur leur demande, à des réunions propres aux trois axes ou groupes de travail engagés dans des projets collectifs. La matinée commencera à 9h30. Les trois groupes auront bien évidemment la maîtrise de leurs horaires de travail.
Salle D328 pour le groupe Adaptations curriculaires
Salle A2278 pour le groupe Nouvelles frontières/axe 3
Salle A045 (la salle de réunion Escol) pour le groupe/axe 4
Regroupements 2012-2013
Séance n°1
Lundi 12 et mardi 13 novembre 2012 Université Paris 7
Lundi 12, 10 h – 12 h30 : Présentation des travaux de l’axe 3 « Pluralité, porosité des milieux et des pratiques dans/hors l’école, dans/hors la classe » et de son projet d’ouvrage collectif « Les nouvelles frontières de l’école ».
Lundi 12, après-midi : Travail en parallèle des axes 2 « Évolutions et adaptations curriculaires et pédagogiques », 3 et 4 « Formation et circulation des savoirs et des doxas pédagogiques entre recherche, formation et exercice professionnel ». Concernant l’axe 2, cette après-midi sera pour l’essentiel consacré au projet de recherche « Adaptations curriculaires contextualisées et inégalités » déposé par Escol en réponse à l’appel d’offres de la DEP et auquel d’autres membres de Reseida sont associés.
Mardi 13, 9 h 30 – 12 h : Intervention de Sylvie Cèbe (laboratoire ACTÉ, Université et IUFM de Clermont-Ferrand) : la mise en œuvre de Lectorino et Lectorinette par des enseignants de CE.
Mardi 13, 14h – 16 h : Retour et réflexions méthodologiques et théoriques sur la question des adaptations curriculaires et de leur saisie ; information sur les projets en cours.
Séance n°2
Jeudi 17 et vendredi 18 janvier 2013 Université Paris 7
Jeudi 17 : Travail autour du thème « Sociologie(s) et didactiques(s) : questions posées et services rendus des unes aux autres », en lien avec la tenue en septembre dernier, à la HEP de Lausanne, d’un colloque international intitulé « Sociologie et didactiques : vers une transgression des frontières ? ». Philippe Losego, sociologue et responsable du comité scientifique de ce colloque introduira ce thème, entre autres à partir du bilan et des perspectives de travail qu’il tire de ce colloque, quant aux relations possibles ou souhaitables entre sociologie et didactiques. Deux interventions sont prévues par la suite sur le même thème, et à partir de la lecture des communications au colloque, par Élisabeth Bautier et J.-Y. Rochex .
Vendredi 18 matin : Travail en trois ateliers correspondants aux axes du réseau.
- Axes 1et 2 : à partir du projet de recherche Adaptations curriculaires contextualisées et inégalités.
- Axe 3 : Porosité, circulation des objets, des pratiques et dispositions
- Axe 4 : Circulation des savoirs et doxas, entre recherche, formation et exercice professionnel enseignant.
Vendredi après-midi : compte-rendu et échanges. discussion générale sur les projets et perspectives du réseau.
Séance n°3
Lundi 3 et mardi 4 juin 2013 Université Paris 7
Lundi 3 juin, 10 h – 12 h, intervention de Christophe Joigneaux « La littératie émergente : premiers usages de l’écrit et normes de réussite scolaire.
Lundi 3 juin, 12 h – 13 h, travail sur le projet de manuscrit « Les nouvelles frontières de l’école », élaboré par les collègues de l’axe 3 de Reseida.
Lundi 3 juin, après-midi, réunion par axes sur les projets en cours : le livre collectif pour l’axe 3, la recherche Adaptations curriculaires contextualisées pour les axes 1 et 2, l’enquête par questionnaire et le symposium REF pour l’axe 4.
Mardi 4 juin, 9h30 – 12 h, intervention de Jean-Claude Régnier (Université Lyon 2) et Marc Bailleul (Université de Caen) : « Autour de questions méthodologiques soulevées par la construction, le traitement et l’analyse des données utiles à la recherche en SHS. Quelques apports de l’analyse statistique implicative : de l’exploratoire au confirmatoire ».
Mardi 4 juin, début d’après-midi : compte-rendu des travaux et avancées des axes, et préparation de l’année 2013-2014.
UNIVERSITÉ PARIS 8 - SAINT DENIS PARIS EST - CRÉTEIL
ADRESSE
Université Paris 8 – Saint Denis
2, rue de la Liberté
93526 Saint-Denis cedex 02
INSPÉ de l’académie de Créteil
Rue Jean Macé
94380 Bonneuil sur Marne
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